Lemuria/fr: Difference between revisions
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Pendant un certain temps, il sembla que les Ténèbres avaient complètement enveloppé la Lumière. Voyant la défection de la race, les conseils cosmiques votèrent la dissolution de la planète dont les habitants avaient abandonné leur Dieu ; et tel aurait été son destin si [[Sanat Kumara]] n'était pas intervenu, offrant de s'exiler d'Hespérus ([[Vénus (la planète)|Vénus]]) afin de maintenir la flamme au nom de l'humanité et de maintenir l'équilibre de la Lumière pour Terra jusqu'à ce que l'humanité revienne à la religion pure et sans tache<ref>James 1:27. </ref> de leurs anciens ancêtres. | Pendant un certain temps, il sembla que les Ténèbres avaient complètement enveloppé la Lumière. Voyant la défection de la race, les conseils cosmiques votèrent la dissolution de la planète dont les habitants avaient abandonné leur Dieu ; et tel aurait été son destin si [[Sanat Kumara]] n'était pas intervenu, offrant de s'exiler d'Hespérus ([[Vénus (la planète)|Vénus]]) afin de maintenir la flamme au nom de l'humanité et de maintenir l'équilibre de la Lumière pour Terra jusqu'à ce que l'humanité revienne à la religion pure et sans tache<ref>James 1:27. </ref> de leurs anciens ancêtres. | ||
Bien que le foyer physique de la flamme de la Mère ait été perdu lors de la chute de Mu, le rayon féminin a été enchâssé sur le plan éthérique par le [[Dieu et la Déesse Meru]] dans leur [[Temple de l'Illumination|temple du lac Titicaca]]. | |||
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Mu, ou Lémurie, était le continent perdu du Pacifique qui, selon les découvertes de James Churchward, archéologue et auteur de The Lost Continent of Mu, s'étendait du nord de Hawaï à trois mille miles au sud de l'île de Pâques et des Fidji et était composé de trois zones de terre s'étendant sur plus de cinq mille miles d'est en ouest.
L'histoire de l'ancienne mère patrie de Churchward est basée sur des documents inscrits sur des tablettes sacrées qu'il prétend avoir découvertes en Inde. Avec l'aide du grand prêtre d'un temple indien, il a déchiffré ces tablettes. Pendant cinquante ans de recherches, il a confirmé leur contenu dans d'autres écrits, inscriptions et légendes qu'il a découverts en Asie du Sud-Est, au Yucatan, en Amérique centrale, dans les îles du Pacifique, au Mexique, en Amérique du Nord, dans l'Égypte ancienne et dans d'autres civilisations. Il estime que Mu a été détruit il y a environ douze mille ans par l'effondrement des chambres à gaz qui soutenaient le continent.
Le culte de la Mère
Le culte de la Mère, destiné à prendre de l'importance au vingtième siècle, était le fondement de la civilisation de la Lémurie, ce continent perdu qui s'est enfoncé dans l'océan Pacifique il y a plusieurs milliers d'années. L'évolution de la vie dans la Mère Patrie et ses colonies a représenté la poussée initiale de l'Esprit dans la Matière sur cette planète. Ici, où les premières races-racines ont achevé les cycles de leur plan divin au cours non pas d'un mais de plusieurs âges d'or qui ont atteint leur apogée avant la Chute de l'homme, le rayon masculin (les spirales descendantes de l'Esprit) a été réalisé par le rayon féminin (les spirales ascendantes de la Matière) dans le monde de la forme.
Dans le temple principal de Mu, la flamme de la Mère divine était enchâssée en tant que coordonnée de la flamme du Père divin concentrée dans la Cité d'or du Soleil. Perpétuant les anciens rituels d'invocation au Logos et d'intonation des sons sacrés et des mantras du Verbe, les prêtres et prêtresses du feu sacré maintenaient l'équilibre des forces cosmiques au nom des ondes vitales de la planète. Dans les colonies lointaines de Mu, des répliques du temple et de son foyer de flammes furent érigées en sanctuaires de la conscience virginale, créant ainsi entre la terre et le soleil un arc de lumière, ancré dans la flamme d'en bas et la flamme d'en haut, qui véhiculait les énergies du Logos nécessaires à la précipitation de la forme et de la substance dans les plans de la Matière.
Bien au-delà de nos maigres accomplissements, les grandes avancées technologiques réalisées au cours de siècles de culture continue sur Mu ont été le fruit d'un accord universel avec la Mère divine, dont la conscience englobe les lois qui régissent toute manifestation sur le plan terrestre. Les réalisations dans tous les domaines d'activité d'un peuple dévoué au plan de Dieu révélé par son Œil omniscient montrent à quels sommets une civilisation peut s'élever lorsque la flamme de la Mère est honorée et adorée dans chaque cœur et qu'elle est gardée et développée dans des sanctuaires dédiés à son nom. Et il devient clair que la déchéance de l'homme fut, en réalité, le résultat de son éloignement du culte de la Mère et de sa mauvaise utilisation des énergies de l'atome-germe concentrées dans le chakra de la base de l'épine dorsale, qui établit la lumière de la flamme de la Mère dans le corps physique.
La chute de l'homme sur la Lémurie
La chute de Mu est donc le résultat direct de la chute de l'homme, qui a atteint son point le plus bas dans la profanation des sanctuaires de la Vierge cosmique. Cela s'est produit graduellement par la compromission avec le Principe, la séparation d'avec le Saint-Esprit et la perte de vision qui en résulte inévitablement. Aveuglés par l'ambition et l'amour de soi, les prêtres et les prêtresses ne s'occupèrent plus des flammes ; renonçant à leurs vœux, ils abandonnèrent la pratique de ces rituels sacrés qui étaient restés ininterrompus pendant des milliers d'années - même si les saints anges veillent perpétuellement sur la flamme non alimentée qui brûle sur l'autel du Dieu Très-Haut.
Le culte de la Mère Lune, la Grande Prostituée mentionnée dans le Livre de l'Apocalypse, [1] remplaça le culte de la Mère Soleil, la Femme que Jean vit "revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne de douze étoiles"[2] Un cristal noir serti dans du plomb et de la pierre devint le foyer de la perversion du rayon Mère et le symbole de la nouvelle religion. Un à un, les cercles intérieurs des ordres du temple furent violés par la pratique diabolique de la magie noire et du culte phallique enseigné par les lucifériens, jusqu'à ce qu'une théologie complètement fausse anéantisse les modèles immaculés du culte de la Mère.
La vie sur le continent de Mu a encore été corrompue par des extraterrestres et des anges déchus avec leurs grotesques mauvaises créations génétiques, se moquant de la Divinité et violant la science sacrée de la Mère en engageant les hommes dans des guerres de dieux.
Le naufrage de la Lémurie
Peu à peu, les premiers grondements du cataclysme se firent entendre par les habitants de Mu. Les autels des colonies les plus éloignées furent les premiers à tomber. Lorsque les derniers bastions - les douze temples entourant le temple principal - furent repris par les Satanistes, l'élan de lumière invoqué par le reste des fidèles ne fut pas suffisant pour maintenir l'équilibre du continent.
C'est ainsi que Mu finit par sombrer sous le poids des Ténèbres que ses enfants avaient invoquées et qu'ils avaient fini par aimer plus que la Lumière, parce que leurs actes étaient mauvais. Elle sombra dans une horrible masse de feu volcanique et de lave en explosion, et les foyers de flammes qui avaient soutenu un puissant peuple et une puissante civilisation n'existaient plus. Ce qui avait mis des centaines de milliers d'années à se construire fut détruit dans un intervalle cosmique - les réalisations d'une civilisation entière perdues dans l'oubli, l'évolution spirituelle et matérielle de l'homme effacée de sa mémoire extérieure !
La perte de la flamme maternelle
Bien que ce cataclysme ait été dévastateur pour des millions d'âmes, la destruction du foyer de la flamme de la Mère qui avait flambé sur l'autel du temple principal - un feu vivifiant, l'insigne de la Divinité de chaque homme manifestée comme en haut, donc en bas - a eu des conséquences bien plus importantes. Hélas, le flambeau qui avait été transmis a été laissé tomber au sol. Les stratégies des déchus, qui avaient travaillé nuit et jour avec un zèle fanatique, réussirent à atteindre leur but : la flamme de la Mère s'éteignit sur le plan physique.
Pendant un certain temps, il sembla que les Ténèbres avaient complètement enveloppé la Lumière. Voyant la défection de la race, les conseils cosmiques votèrent la dissolution de la planète dont les habitants avaient abandonné leur Dieu ; et tel aurait été son destin si Sanat Kumara n'était pas intervenu, offrant de s'exiler d'Hespérus (Vénus) afin de maintenir la flamme au nom de l'humanité et de maintenir l'équilibre de la Lumière pour Terra jusqu'à ce que l'humanité revienne à la religion pure et sans tache[3] de leurs anciens ancêtres.
Bien que le foyer physique de la flamme de la Mère ait été perdu lors de la chute de Mu, le rayon féminin a été enchâssé sur le plan éthérique par le Dieu et la Déesse Meru dans leur temple du lac Titicaca.
Paradise lost
The souls who perished with the Motherland reembodied upon a naked earth. Their paradise lost, they roamed the sands whose atoms were etched with the edict of the LORD God “Cursed is the ground for thy sake....”[4] Having no recall of their former estate and no tie thereto—for they lacked the Flame—they reverted to a primitive existence. Through disobedience to the laws of God, they forfeited their self-mastery, their right to dominion, and their knowledge of the I AM Presence. Their threefold flame was reduced to a mere flicker and the lights in their body temples went out.[5]
Man, no longer found in the image of the Christ, became one of the species (Homo sapiens), an animal among other animals, his God-potential sealed for a thousand days of cosmic history. Thus began the tortuous trek of evolution that has brought civilization to its present level and which is intended to culminate in a golden age of Christ-mastery and full God-realization.
The Mother flame rising again
In 1971 devotees of the sacred fire serving in an outer retreat of the Great White Brotherhood (La Tourelle) magnetized the Mother flame of Mu to the physical octave, thereby anchoring the lodestone for the Aquarian-age culture being initiated in the final decades of the twentieth century. Once again, the torch has been passed; and this time, by God’s grace and man’s effort, it shall not go down!
Just as the worship of God as Father has dominated religious thought for many centuries, so in the next cycle the appreciation of God as both Father and Mother will provide the theme of an Ascended Master philosophy and way of life. This promises to be an era of perfecting the precipitation of Spirit in and as Matter as man takes dominion over the four elements—fire, air, water and earth—which represent the four planes of God’s androgynous consciousness whose cycles he must master prior to his reunion with the God Self. Through the worship of the Motherhood of God and the elevation in society of the functions of the Feminine aspect of the Deity, science and religion will reach their apex and man will discover the Spirit of God as the flame enshrined upon the altar of his own being even as he discovers the Matter of God in the cradle of nature. Moreover, through the enlightenment of the Divine Theosophia he will accept his role as the living Christ—the seed of the Divine Woman.
Transmutation of the records of the fall
In a dictation delivered in San Diego, California, the ascended master Ra Mu has called for the students of the masters to give calls for the clearing of the records of the fall of Lemuria:
Out of the depths of the sea I am come, Ra Mu. I descend upon this place for the clearing of the records of Lemuria. This cleansing of the records beneath the Pacific is necessary in this hour for the balance of the coasts and of the planetary systems as well.
We, then, are grateful to gather with you, souls of light, souls of Lemuria. Our mission in this hour is to call you to the heart of the living flame—the violet flame of the Holy Spirit and of Saint Germain. We call to you, beloved, to give dynamic decrees that the violet light might descend into the very depths of the seas, clearing the records of the continent, clearing those records beneath the seas—and above the seas before the sinking of Lemuria.
Many of you who have gathered here on this coast were present in times of Lemuria. You knew its history, you knew its mountains. You saw the warfare of the gods also.[6] You saw the sinking of Lemuria. Thus you are yet on Lemurian soil and thus you have come back to the place for resolution. The resolution is the resolution of divine love, and truly it must take place 360 degrees of the clock....
Sons and daughters of Lemuria and of planet Earth, I speak to you, then. I advocate that you move with great acceleration to give your violet-flame decrees for world transmutation. Every violet-flame decree that you give contributes to the stabilization not only of this coast but of the entire globe. If you could see the future, beloved ones, you would not hesitate to give many hours a day decreeing for the violet flame to consume records that have befallen those who lived on Lemuria, those who were under the high priests and those who were the murderers of priests and priestesses in that era....
In this hour we ask you to call and give violet-flame decrees for the transmutation of the records of the murder of the Divine Mother on Lemuria.[7] This record is a deep record and it must be cleansed ere you will see women truly rise to their full stature in the fullness of their Christhood and their femininity. Thus the records of Lemuria are holding back levels upon levels of souls who cannot move on because the records of Lemuria have not been transmuted.
Thus the Pacific rim is now the place where the violet flame must be injected, where the violet flame must go to the very depths of the sea and remove these records. When these records are removed, beloved, there will be a transformation in society as great priestesses of old come to the fore again, take embodiment and move with others who are of the feminine ray to bring in the balance of the masculine and feminine and to drive back those fallen angels who have moved against Woman and her seed through these long, long, long centuries of departure.[8]
See also
For more information
For additional teaching on Lemuria and its fall, see Mark L. Prophet and Elizabeth Clare Prophet, The Path of the Higher Self, volume 1 of the Climb the Highest Mountain® series, pp. 60–78, 411–14.
See also James Churchward, The Lost Continent of Mu (1931; reprint, New York: Paperback Library Edition, 1968).
H. P. Blavatsky, The Secret Doctrine, Vols. I and II, (Pasadena, Ca.: Theosophical University Press, 1888, 1963), check index for references to Lemuria.
Sources
Pearls of Wisdom, vol. 31, no. 26, June 12 1988.
Mark L. Prophet and Elizabeth Clare Prophet, The Path of the Higher Self, volume 1 of the Climb the Highest Mountain® series, pp. 411–14.
- ↑ Rev. 17:1.
- ↑ Rev. 12:1.
- ↑ James 1:27.
- ↑ Gen. 3:17.
- ↑ The flame-focuses in the chakras were withdrawn to the heart and the Elohim assumed the responsibility for the natural functioning of the chakras—the distribution of light to the four lower bodies.
- ↑ In a dictation given on October 18, 1987, the Elohim Peace said: “I remember well and paint before you the akashic records of the era before the sinking of Lemuria when wars were waged by the gods in the misuse of the sacred fire. And by ‘gods’ I mean those fallen angels embodying by their own free will a left-handed path of darkness and death. Thus, a false priesthood and those who betrayed the living light of the Divine Mother by their misuse of the light, energy and consciousness of God did wreak that havoc that caused the sinking of continents. And past golden ages have descended to the state in which we find mankind this day.” See Pearls of Wisdom, vol. 30, no. 64, p. 541.
- ↑ Refers to the murder of the highest representative of the Divine Mother in that era on Lemuria. In the golden ages of the continent, many adepts and devotees also embodied the flame of the Divine Mother and therefore nurtured a culture that outpictured that Mother flame. See Ascended Lady Master Clara Louise, Pearls of Wisdom, vol. 34, no. 30.
- ↑ Ra Mu, “Transmute the Records of Lemuria and Claim the Victory of the Feminine Ray,” Pearls of Wisdom, vol. 43, no. 13, March 31, 2002.