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Comprenez donc que lorsque les pouvoirs en place jugent opportun de créer une universalité, quel qu'en soit le sujet, vous pouvez être sûr que ce n'est pas dans le but que vous avez défini, mais dans leur propre intérêt. La [[Special:MyLanguage/Great White Brotherhood|Grande Fraternité Blanche]] voit l'unité des nations sous Dieu, voit l'unité de la Lumière à la fois dans le gouvernement, dans la science et dans la [[Special:MyLanguage/religion|religion]] — mais seulement lorsque le point de christicité individuelle est atteint pour l'utilisation responsable de ces voies menant à l'unification de tous. | Comprenez donc que lorsque les pouvoirs en place jugent opportun de créer une universalité, quel qu'en soit le sujet, vous pouvez être sûr que ce n'est pas dans le but que vous avez défini, mais dans leur propre intérêt. La [[Special:MyLanguage/Great White Brotherhood|Grande Fraternité Blanche]] voit l'unité des nations sous Dieu, voit l'unité de la Lumière à la fois dans le gouvernement, dans la science et dans la [[Special:MyLanguage/religion|religion]] — mais seulement lorsque le point de christicité individuelle est atteint pour l'utilisation responsable de ces voies menant à l'unification de tous. | ||
Mes bien-aimés, les objectifs et les systèmes mondialistes qui prévalent aujourd'hui dans l'économie et les gouvernements ne peuvent que conduire à la neutralisation du pouvoir du Christ dans l'individu, ne peuvent que conduire à la destruction du chemin suprême du [[mysticisme]] qui est devenu le vôtre en tant qu'initiés à la volonté de Dieu. | Mes bien-aimés, les objectifs et les systèmes mondialistes qui prévalent aujourd'hui dans l'économie et les gouvernements ne peuvent que conduire à la neutralisation du pouvoir du Christ dans l'individu, ne peuvent que conduire à la destruction du chemin suprême du [[Special:MyLanguage/mysticism|mysticisme]] qui est devenu le vôtre en tant qu'initiés à la volonté de Dieu. | ||
L'unité mondiale est aujourd'hui soutenue par un nombre considérable d'[[Special:MyLanguage/fallen angel|anges déchus]], afin qu'ils puissent veiller à ce que ceux qui sont dans le besoin soient pris en charge. (Et ceux qui sont dans le besoin sont définis par le [[Special:MyLanguage/Darjeeling Council|Conseil de Darjeeling]] comme ceux qui n'ont pas la lumière, qui sont endettés envers le cosmos et qui ne font que prendre sans donner.) Ainsi, là où les [[Special:MyLanguage/lightbearer|porteurs de lumière]] ont fondé des nations basées sur les principes de la lumière et les anciennes traditions de [[Special:MyLanguage/Moses|Moïse]] et [[Special:MyLanguage/Jesus Christ|Jésus-Christ]], les démunis ont des nations qui ne sont pas basées sur la lumière et sa source qui brille en leur sein, mais sur des institutions et des ordres où leur seul moyen d'avoir la lumière est de l'acquérir auprès des nations ou des individus qui sont les nantis. | L'unité mondiale est aujourd'hui soutenue par un nombre considérable d'[[Special:MyLanguage/fallen angel|anges déchus]], afin qu'ils puissent veiller à ce que ceux qui sont dans le besoin soient pris en charge. (Et ceux qui sont dans le besoin sont définis par le [[Special:MyLanguage/Darjeeling Council|Conseil de Darjeeling]] comme ceux qui n'ont pas la lumière, qui sont endettés envers le cosmos et qui ne font que prendre sans donner.) Ainsi, là où les [[Special:MyLanguage/lightbearer|porteurs de lumière]] ont fondé des nations basées sur les principes de la lumière et les anciennes traditions de [[Special:MyLanguage/Moses|Moïse]] et [[Special:MyLanguage/Jesus Christ|Jésus-Christ]], les démunis ont des nations qui ne sont pas basées sur la lumière et sa source qui brille en leur sein, mais sur des institutions et des ordres où leur seul moyen d'avoir la lumière est de l'acquérir auprès des nations ou des individus qui sont les nantis. | ||
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Dans le but de résoudre les problèmes environnementaux actuels, des personnes bien intentionnées ont proposé plusieurs solutions. L'une d'entre elles, qui a fait l'objet de nombreuses discussions, consiste à mettre en place une sorte de gouvernement mondial dans lequel un groupe de spécialistes de l'environnement serait chargé de contrôler de manière centralisée les écosystèmes de la planète. Afin d'éliminer les déséquilibres dans la biosphère et les disparités économiques entre les nations, les partisans de ce projet préconisent la redistribution des ressources naturelles et humaines à l'échelle mondiale, afin que chaque homme et chaque pays reçoivent leur « juste part » de la terre et de l'atmosphère, c'est-à-dire un lopin de terre sous un bout de ciel.
Tout en reconnaissant la sincérité de la majorité de ceux qui œuvrent à l'amélioration du sort de l'humanité, nous devons souligner que ce projet comporte certaines incohérences notables avec la loi cosmique. Tout d'abord, un gouvernement mondial unique n'est pas recommandé par la Hiérarchie. Tant que le Christ ne règne pas dans le cœur de l'individu, celui-ci n'est pas apte à gouverner le monde.
Le but des États-nations
Les États-nations ont été institués par les maîtres ascensionnés pour servir de point final de transition entre la société imparfaite qui a évolué après l'expulsion de l'homme du Jardin d'Eden|Eden et la société parfaite qui sera représentée dans l'âge d'or — une société basée sur un gouvernement mondial dirigé par le Prince de la Paix et ceux qui ont atteint la maîtrise de soi grâce à la conscience christique. Les abus qui ont eu lieu au sein et entre les États-nations ne sont pas l'intention de Dieu, mais plutôt le reflet de l'ignorance et de l'indifférence de l'homme à l'égard de cette intention ; et cela est prévisible, compte tenu de son évolution imparfaite actuelle.
La Fraternité met en garde contre l'union prématurée des peuples, même dans le but de résoudre les problèmes de l'écosystème planétaire. En effet, en raison de leur karma collectif et de leur destinée divine qui consiste à manifester un aspect de la conscience christique en tant que nation, les peuples du monde ont besoin de frontières identitaires qui leur permettent de remplir leur raison d'être. Le système des États-nations n'est pas intrinsèquement mauvais, pas plus que ses citoyens ne sont intrinsèquement égoïstes. En développant leur propre individualité et en respectant le droit des autres à faire de même, ils favorisent l'évolution de tous les autres États et de l'ensemble du corps planétaire.
L'union des peuples du monde se fera naturellement à mesure que les individus et les nations s'efforceront d'atteindre la perfection et l'unité par le Christ. En attendant, les maîtres exhortent chaque famille, chaque communauté, chaque État et chaque nation à commencer à rechercher sérieusement des solutions à leurs problèmes environnementaux. Lorsque ce projet sera mené à bien de manière désintéressée, avec pour seule motivation le bien-être général, et que les gens seront prêts à faire des sacrifices les uns pour les autres, alors et seulement alors, de réels progrès seront accomplis.
Le pouvoir exercé par une élite intellectuelle
La conviction selon laquelle les dangers inhérents à un système mondial de contrôle écologique seraient éliminés par le règne d'une élite intellectuelle est également remise en question par les étudiants des Maîtres. Bien que la Hiérarchie reconnaisse que seuls les individus les plus qualifiés et les mieux éduqués de l'humanité devraient avoir le dernier mot en matière de contrôle environnemental, leur jugement et celui des hommes quant à savoir qui est le plus qualifié et le mieux éduqué ne coïncident pas nécessairement.
Si le pouvoir exercé par une élite intellectuelle est acceptable en théorie, nous tenons à souligner qu'en pratique, un tel système peut s'avérer à la fois lourd et dangereux. La lourdeur du projet réside dans l'application des décisions prises par l'organe directeur mondial. Seul un État policier international ayant le pouvoir de passer outre la souveraineté des nations pourrait mettre efficacement en œuvre un tel plan. Le danger de ce plan réside dans l'hypothèse selon laquelle l'homme peut, par sa seule intelligence, parvenir aux jugements de Dieu.
S'il est souvent vrai qu'un esprit entraîné peut mieux s'harmoniser avec l'esprit du Christ, il est également vrai que les meilleurs esprits peuvent être entraînés selon les pires concepts. De tels esprits rejetteront les incitations du Christ parce qu'ils ont été conditionnés par la perspective déformée de l'esprit charnel. Certains des plus grands penseurs du monde, sans que cela soit de leur faute, ont été privés de la compréhension même élémentaire des lois du karma et de la réincarnation, ainsi que de la place de notre planète dans le schéma cosmique. Pourtant, ils développent des moyens de modifier le mode de vie entier de l'homme afin de le conformer à l'homme-animal auquel ils ont été éduqués à croire. Lorsque le meilleur de l'homme n'est pas assez bon pour devenir une norme universelle, il vaut mieux que sa sphère d'influence soit moins qu'universelle. La suppression de l'État-nation supprime le dernier moyen de limiter la prolifération de l'erreur jusqu'à ce que l'homme lui-même soit capable de transcender les limites de son faux endoctrinement.
Nous devons conclure que tant que les « spécialistes » qui sont censés prendre en charge l'écosystème mondial proposé ne reconnaîtront pas le potentiel christique de chaque membre de la biosphère et que la maîtrise de soi ne deviendra pas l'objectif premier de l'éducation, tant que le but du gouvernement ne sera pas considéré comme étant la protection du Christ en chaque homme, un système mondial de contrôle risque d'être utilisé par les mauvaises personnes à des fins néfastes. Ce n'est que lorsque les spécialistes eux-mêmes travailleront consciemment à l'unité avec le Christ Soi qu'on pourra leur faire confiance pour préserver les libertés qui sont essentielles à la réalisation du Christ par chaque homme ; ce n'est qu'alors qu'on pourra leur faire confiance pour façonner le destin de toute l'évolution planétaire.
Karma, dharma et répartition des ressources
En examinant la croyance selon laquelle les problèmes écologiques de l'homme peuvent être résolus par une répartition plus équitable des ressources humaines et naturelles, les maîtres ascensionnés soulignent que c'est précisément parce que les quotients énergétiques des individus ne sont pas égaux que la théorie de la répartition égale des ressources de l'homme est indéfendable. L'effort individuel pour développer l'étincelle divine et développer les qualités de la Divinité est le facteur déterminant du statut individuel de l'homme en tant que fils ou fille de Dieu. Et comme l'illustre la parabole des talents[1], l'usage que l'homme fait de ses talents dans une incarnation détermine combien il en méritera dans la suivante. Les individus et les nations dont les efforts pour accomplir les œuvres de Dieu ont été plus grands que ceux d'autres qui ont eu la même opportunité ont gagné le droit de tirer une plus grande part de richesse, d'énergie et de talent de la Source universelle.
Tout comme nul ne peut priver autrui de ses trésors célestes, nul individu ou entité politique ne peut exiger d'autrui des richesses et des biens qu'il n'a pas acquis par un travail honnête. Le simple fait qu'une personne ou un groupe de personnes soit né à une certaine époque et en un certain lieu, dans une race et une famille particulières, dans une nation et un continent particuliers, est une indication (1) de son karma, bon ou mauvais — de ce qu'il a ou n'a pas gagné le droit de jouir — et (2) de son dharma — ce service qu'il est devenu son devoir d'accomplir, selon la volonté de Dieu et son plan divin.
Le projet d'un écosystème mondial unique ne fonctionnera pas, car il ne tient pas compte de l'équilibre délicat de l'écosystème spirituel, c'est-à-dire de l'interaction entre les corps causaux des dix milliards d'âmes affectées à l'école planétaire. Les individus, les groupes, les quartiers, les communautés, les villes, les États et les nations constituent des écosystèmes au sein d'écosystèmes, avec des interdépendances et des énergies imbriquées. Les séparer et les recomposer comme dans un jeu de construction, mélanger les personnes et les choses comme un jeu de cartes et distribuer un nouveau monde, constitue une violation si grave de la loi cosmique qu'elle signifierait la fin ultime de la biosphère. Le contrôle total d'une planète et de ses habitants équivaut à la destruction totale de la réalisation individuelle du potentiel christique par l'initiative individuelle. Si vous détruisez la motivation d'un homme à créer, vous détruisez l'homme, vous le réduisez à l'état d'animal. Et si, en même temps, vous détruisez l'identité d'une nation en la privant de son destin, vous ne vous retrouvez pas avec un âge d'or, mais avec une ferme animalière.
Une sphère d'identité plus large
Certains plaident en faveur d'une organisation mondiale au motif que l'homme a un besoin reconnu d'élargir sa sphère d'identité, c'est-à-dire de transcender son identification à lui-même, à sa famille, à son clan et à sa nation pour englober l'ensemble de son monde. Ils affirment que le désir de l'homme d'exprimer son individualité et de conserver sa liberté d'agir comme il l'entend est la cause sous-jacente de tous les problèmes écologiques. Ils en concluent que l'homme doit renoncer à ses habitudes égocentriques pour le bien de toute la famille humaine dont il n'est qu'un simple membre.
Nous sommes bien conscients du fait que l'homme doit apprendre à s'identifier à l'homme si la vie doit continuer sur cette planète. Il doit être le gardien de son frère ; et en s'identifiant à ce qui est réel en lui-même et dans la société, il doit renoncer à ses désirs égoïstes s'il veut continuer à progresser tant spirituellement que matériellement. Mais l'homme ne peut y parvenir tant qu'il conserve sa nature charnelle, son image de lui-même en tant qu'homme-animal, à travers laquelle il a fonctionné depuis sa chute de la grâce de l'Image du Christ. Par conséquent, s'il veut se débarrasser de son égoïsme, il doit s'élever au-dessus du plan de l'identification à la vie animale pour revendiquer son héritage en tant que fils de Dieu sans péché et altruiste. Ce n'est qu'alors qu'il pourra élargir sa sphère d'identité et, grâce au pouvoir de l'amour divin, inclure le monde entier dans sa conscience de soi.
L'une des grandes erreurs de notre époque consiste à projeter les imperfections actuelles de l'humanité sur la page blanche de l'avenir. Si, au contraire, en invoquant le feu sacré, l'humanité transformait dans le présent le mal, ou le voile d'énergie, dont Jésus disait qu'il suffisait à chaque jour, elle recevrait les ressources nécessaires pour relever les défis de l'avenir. Et les problèmes de son avenir ne seraient pas aggravés par son incapacité à résoudre les problèmes du présent.
Les dangers d'un gouvernement mondial unique
El Morya évoque les dangers d'un gouvernement mondial unique :
Comprenez donc que lorsque les pouvoirs en place jugent opportun de créer une universalité, quel qu'en soit le sujet, vous pouvez être sûr que ce n'est pas dans le but que vous avez défini, mais dans leur propre intérêt. La Grande Fraternité Blanche voit l'unité des nations sous Dieu, voit l'unité de la Lumière à la fois dans le gouvernement, dans la science et dans la religion — mais seulement lorsque le point de christicité individuelle est atteint pour l'utilisation responsable de ces voies menant à l'unification de tous.
Mes bien-aimés, les objectifs et les systèmes mondialistes qui prévalent aujourd'hui dans l'économie et les gouvernements ne peuvent que conduire à la neutralisation du pouvoir du Christ dans l'individu, ne peuvent que conduire à la destruction du chemin suprême du mysticisme qui est devenu le vôtre en tant qu'initiés à la volonté de Dieu.
L'unité mondiale est aujourd'hui soutenue par un nombre considérable d'anges déchus, afin qu'ils puissent veiller à ce que ceux qui sont dans le besoin soient pris en charge. (Et ceux qui sont dans le besoin sont définis par le Conseil de Darjeeling comme ceux qui n'ont pas la lumière, qui sont endettés envers le cosmos et qui ne font que prendre sans donner.) Ainsi, là où les porteurs de lumière ont fondé des nations basées sur les principes de la lumière et les anciennes traditions de Moïse et Jésus-Christ, les démunis ont des nations qui ne sont pas basées sur la lumière et sa source qui brille en leur sein, mais sur des institutions et des ordres où leur seul moyen d'avoir la lumière est de l'acquérir auprès des nations ou des individus qui sont les nantis.
Ainsi, nous voyons que les déchus désirent la dispersion de la lumière à la fois pour affaiblir et neutraliser les porteurs de lumière et pour la donner à leurs propres masses, qu'ils utilisent dans les guerres, les élections politiques, les révolutions, les émeutes et les mouvements de toutes sortes afin qu'ils puissent avoir la lumière nécessaire pour faire avancer les causes des Nephilim rivaux.
C'est pourquoi, mes bien-aimés, vous entendrez les gens se prononcer pour ceci ou pour cela. « Je suis pour une religion mondiale unique », diront-ils. Mais vous devez demander : « Quel genre de religion mondiale ? Sous la domination de qui ? Un Conseil œcuménique des Églises qui nie l'individualisation de la flamme divine ? Qui nie la divinité du Christ en chaque homme ? Qui nie la possibilité de la résurrection et de l'ascension ? Qui nie le karma et la réincarnation en tant que cycle et spirale d'opportunités et chemin d'initiation ? »
Mes bien-aimés, plus le contrôle est centralisé, moins l'individu peut exercer de contrôle sur sa propre vie. Que ce soit dans la religion, dans une académie universelle des sciences ou de la médecine, ou au sein du gouvernement, vous verrez que, à moins que ce ne soit véritablement Dieu qui soit au centre de leur soleil, il ne peut y avoir que le soleil rouge qui se couche et qui n'est pas de la lumière — même si cela peut être un symbole patriotique pour le peuple japonais.
Les cœurs bénis comprennent donc le sens du terme « universel ». Le Christ universel, la doctrine universelle, le gouvernement divin universel sont des choses qui existent en elles-mêmes. C'est cette chose, mes bien-aimés, qui est présente et réelle comme la matrice éthérique, comme le vêtement de chaque porteur de lumière, comme la Lumière sur l'autel du cœur. Jusqu'à présent, cette universalité ne peut être représentée ; car par définition, dès que la matrice éthérique touche le temps et l'espace et commence à prendre forme, elle est immédiatement enfermée dans une boîte, et alors apparaissent les intrigues, puis les disputes, puis les guerres qui s'accélèrent pour savoir qui occupera le siège du pouvoir, qui portera le signe de l'autorité. »[2]
Voir aussi
Conseil œcuménique des Églises
Sources
Mark L. Prophet and Elizabeth Clare Prophet, The Path of the Higher Self, volume 1 of the Climb the Highest Mountain® series (Le chemin du Soi supérieur,volume), 1 de la série Escalader la plus haute montagne®, chapitre, pp. 491-94.