Table ronde

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Les chevaliers du roi Arthur, réunis autour de la Table ronde pour célébrer la Pentecôte, ont une vision du Saint Graal.

Les romans du roi Arthur et de ses chevaliers de la Table ronde sont les récits des écoles mystiques de la Confrérie. Selon la légende celtique, la « Table ronde » de Camelot a été fabriquée par Merlin grâce à son alchimie et offerte à Uther, le père du roi Arthur.

La Table ronde commémorait la table de Jésus, autour de laquelle les apôtres s'étaient assis lors du dernier repas. On disait que cette table avait des pouvoirs spirituels et qu'elle pouvait s'agrandir à mesure que le nombre de chevaliers vertueux augmentait.

Légendes arthuriennes

Après être passée entre plusieurs mains, Arthur reçut la table en dot à l'occasion de son mariage avec sa reine, Dame Guinevere. Ainsi, la fondation de la matrice de chaque école du mystère vient de la main de la Mère du Monde.

À l'occasion du mariage, la table fut bénie par l'archevêque de Canterbury. Merlin demanda alors aux chevaliers de se lever et de rendre hommage à leur roi. Le rôle du roi est dévolu à celui qui détient la clé de l'incarnation de Dieu pour ce cycle et pour cette école du mystère.

Après avoir rendu hommage au roi, lorsqu'ils se levèrent, le nom de chaque chevalier apparut sur la table, en lettres d'or, sauf deux. Merlin appela l'une de ces places « le siège périlleux ». Personne ne devait l'occuper à part le plus vénérable des chevaliers, celui qui allait atteindre le Saint Graal. Quiconque tenterait de le faire serait détruit. Le « siège périlleux » fut finalement occupé par Sir Galahad à la fin de la mission de cette école mystérieuse.

Au centre de la table ronde était sculptée une rose. La rose était le symbole des troubadours et des bardes du Moyen Âge ; le symbole qu'ils appartenaient à une même confrérie, qu'ils poursuivaient une même quête, celle du mystère des enseignements du Christ et du mystère de la flamme du Christ. Et ainsi, cette marque est apparue à maintes reprises comme le symbole du déploiement de la flamme du cœur du Christ.

Il y avait vingt-quatre places pour les chevaliers, disposées en douze paires, puis le double trône pour le roi et le mystérieux chevalier inconnu qui serait digne de s'asseoir sur le siège périlleux.

The Winchester Round Table, constructed during the reign of Edward I, who was an Athurian enthusiast. The current paintwork, done by order of Henry VIII, includes the names of the knights of Arthur’s court around the edge and a rose in the center.

The rites of the Round Table

The rites of the Round Table descended from the celebration of Pentecost by Joseph of Arimathea at Glastonbury, where he came following the ascension of Jesus. It was therefore ordained by King Arthur that his knights should renew their oaths each year at the high feast of Pentecost.

The knight initiates of the Brotherhood of the Quest performed special religious ceremonies, upheld the vision of the kingdom—that precious community of the Holy Spirit—and lived by a strict moral code, much like a religious order. The jousting and competition of the knights at tournaments was the measuring of the levels of the inner soul attainment on this initiatic ladder, and it was training for the mastery of the soul’s energies in the God control of the energies of the sacred centers of life.

The knights of the quest were dedicated to the defense of the feminine ray. Their ideal was the Cosmic Virgin, whom they would defend in every woman and every lady of the court. They upheld the sanctity of marriage as the Holy Family, commemorating the life of Christ, of Mary and Joseph. They stood for the preservation of truth, of justice throughout the realm. And they guarded the knowledge of the inner truths of the Brotherhood and of the community.

See also

King Arthur

Camelot

Sources

Elizabeth Clare Prophet, December 31, 1976.