Saint Germain/fr: Difference between revisions

From TSL Encyclopedia
(Created page with "Vers la fin de sa vie, Bacon a été persécuté et n’a jamais été reconnu pour ses nombreux talents. On dit qu’il est décédé en 1626, mais certains ont affirmé qu...")
(Created page with "Le Comte de Saint-Germain")
Line 150: Line 150:
Grand Directeur Divin]], le 1er mai 1684.
Grand Directeur Divin]], le 1er mai 1684.


[[File:Count of St Germain.jpg|thumb|upright|Le Comte de Saint Germain]]
[[File:Count of St Germain.jpg|thumb|upright|Le Comte de Saint-Germain]]


=== Le Prodige de l'Europe ===
=== Le Prodige de l'Europe ===

Revision as of 19:24, 20 August 2022

Le Maître ascensionné Saint-Germain

Saint-Germain est le chohan du septième rayon. Lui et sa flamme jumelle, le Maître Ascensionnée Portia, la Déesse de la justice sont les hiérarques de l'ère du Verseau. Saint-Germain parraine la flamme de la liberté alors que Portia parraine la flamme de la justice.

Saint-Germain est connu comme un diplomate, exprimant les qualités divines de dignité, de grâce, de noblesse et d’équilibre et d’un véritable art de gouverner par tous ceux qui font appel au septième rayon. Il est un membre de la Maison de Rakoczy, fondée par le Grand Directeur Divin , dans le Transylvanian mansion|Manoir de Transylvanie où la flamme violette de liberté est actuellement enchâssée.

Le nom Saint-Germain vient du latin Sanctus Germanus ce qui veut dire “Saint-frère.”

Sa mission

Chaque cycle de deux mille ans est gouverné par l’un des sept rayons. Jésus, en tant que Chohan du sixième rayon a occupé cette fonction de la hiérarchie au cours des derniers 2 000 ans. Le 1er mai 1954, Saint-Germain et Portia ont été couronnés directeurs du cycle suivant sur le septième rayon. Liberté et Justice sont le yin et le yang du septième rayon de l’ère du Verseau, et ensemble avec la miséricorde, ils constituent le fondement pour tous les autres attributs de Dieu qui doivent être représentés dans cette septième dispense.

Saint Germain and Portia deliver to the people of God the dispensation for the seventh age and the seventh ray—the violet ray of freedom, justice, mercy, alchemy and sacred ritual—a new lifewave, a new civilization, a new energy.

En tant que Chohan (Seigneur) du septième rayon, Saint-Germain initie nos âmes à la science et au rituel de la transmutation par la flamme violette. Il est le septième ange prophétisé dans l’Apocalypse, chap. 10 v.7, qui vient parrainer le parachèvement du mystère de Dieu « comme il l’a dit à ses serviteurs les prophètes ».

Saint-Germain nous dit:

I am an ascended being, but it has not ever been thus. Not once or twice but for many incarnations I walked the earth as you now do, confined to mortal frame and the limitations of dimensional existence. I was on Lemuria and I was on Atlantis. I have seen civilizations rise and fall. I have seen the undulations of consciousness as mankind have cycled from golden ages to primitive societies. I have seen the choices, and I have seen mankind by wrong choices squander the energies of a hundred thousand years of scientific advancement and even degrees of cosmic consciousness that transcend that which is attained by members of the most advanced religions of the day.

Oui, j’ai vu les choix qui ont été faits et j’ai fait mes choix. C’est par des choix justes qu’homme et femme établissent leur position dans la hiérarchie. En choisissant d’être libre dans la merveilleuse volonté de Dieu, j’ai conquis ma liberté hors de la ronde des incarnations et des raisons d’une existence hors de l’Unique. J’ai conquis ma liberté par cette flamme, cette caractéristique du cycle du Verseau établie par les alchimistes d’autrefois, cet élixir violet que les saints détiennent…

Vous êtes mortels. Je suis immortel. La seule différence entre nous est que j’ai choisi d’être libre et que vous n’avez pas encore fait ce choix. Nous avons le même potentiel, les mêmes ressources, le même lien avec l’Unique. J’ai utilisé mon potentiel pour me forger une Identité divine. Car il y a longtemps la petite voix intérieure a prononcé le fiat d’Alpha et du Dieu vivant : « Enfants de l’Unique, forgez votre Identité divine ! » Et j’ai entendu l’appel dans le silence de la nuit et j’ai répondu : « Je le ferai ! » Et lorsque j’ai dit « Je le ferai ! », le cosmos tout entier a répété : « Je le ferai ! » La volonté d’être mobilise l’immensité du potentiel de l’être…

Je suis Saint-Germain et je suis venu réclamer votre âme et le feu de votre cœur pour la victoire de l’ère du Verseau. J’ai établi le modèle pour l’initiation de votre âme. …Je marche sur le sentier de la liberté. Prenez ce sentier et vous m’y trouverez. JE SUIS votre enseignant, si vous me le permettez ».[1]

Incarnations

Souverain d’une civilisation de l’âge d’or

Article principal: L'âge d'or dans le désert du Sahara

Il y a plus de cinquante mille ans, Saint-Germain gouvernait une civilisation qui connaissait un âge d’or dans un pays fertile où se trouve maintenant le désert du Sahara. En tant que roi, Saint-Germain était un maître de l’ancienne sagesse et de la connaissance des sphères de la Matière, et les gens voyaient en lui l’exemple de leur propre Déité naissante. Son empire était un exemple inégalé de beauté, de symétrie et de perfection dans le plan physique.

Comme les gens de cette civilisation se sont progressivement intéressés aux plaisirs des sens plutôt qu’au vaste plan de création du Grand Moi Divin, un conseil cosmique donna instruction au roi de se retirer de son empire ; ainsi leur karma deviendrait leur gourou. Le roi offrit un banquet auquel il invita ses conseillers et fonctionnaires. Ses 576 invités reçurent chacun un gobelet de cristal contenant un élixir qui était « une essence électronique pure ».

Cet élixir était un cadeau de Saint-Germain pour protéger leur âme lorsqu’une opportunité se présenterait de nouveau, à l’ère du Verseau, pour ramener la civilisation de l’âge d’or, ils se rappelleraient leur Présence JE SUIS et ils deviendraient un signe pour toute la population que Dieu peut et demeure avec son peuple lorsque les individus font de leurs esprits, de leurs cœurs et de leurs âmes une habitation convenable pour son Esprit.

Au cours du banquet, un maître cosmique, s’identifiant seulement par le mot Victoire écrit sur son front, s’adressa à l’assemblée. Il annonça aux gens que la crise qu’ils avaient attirée sur eux-mêmes par leur manque de foi allait se produire ; il les réprimanda d’avoir négligé leur grande Source divine, et prophétisa que l’empire serait sous la gouverne d’un prince qui souhaitait épouser la fille du roi. Le roi et sa famille se retirèrent sept jours plus tard dans la cité éthérique dorée, le pendant éthérique de la cité terrestre. Le prince arriva le jour suivant et s’empara du royaume sans la moindre opposition.

Grand prêtre en Atlantide

Grand prêtre du Temple de la flamme violette sur l’Atlantide, il y a plus de treize mille ans, Saint-Germain a soutenu, par ses invocations et son corps causal, un pilier de feu, une véritable fontaine de flamme violette chantante, qui magnétisait les gens qui de près et de loin venaient pour se libérer de toute condition contraignante du corps, de l’esprit et de l’âme. Ils obtenaient cela par un effort personnel en offrant des invocations et par la pratique des rituels du septième rayon du feu sacré.

Ceux qui officiaient à l’autel du Temple de la flamme violette étaient instruits au sein de la prêtrise de l’Ordre de Melchisédech dans la retraite du Seigneur [[Special:MyLanguage/Zadkiel|Zadkiel, dans le [[Special:MyLanguage/Temple of Purification|Temple de purification, où se trouve maintenant l’île de Cuba. Ce sacerdoce réunit la religion parfaite et la science parfaite. C’est là que [[Special:MyLanguage/Jesus|Jésus et Saint-Germain ont tous deux reçu l’onction dont Zadkiel lui-même a dit : « Tu es un prêtre pour toujours, selon l’Ordre de Melchisédech ».

Avant que ne sombre l’Atlantide, pendant queNoé bâtissait son arche et alertait les gens à propos du the great Flood|grand déluge à venir, le Grand Directeur divin a demandé à Saint-Germain et à quelques prêtres fidèles de transporter la flamme de liberté du Temple de purification dans un endroit sécuritaire aux pieds des montagnes des Carpates en Transylvanie. C’est là qu’ils poursuivirent le rituel sacré de l’expansion des feux de la liberté pendant que le karma de l’humanité était exigé par décret divin.

Au cours d’incarnations successives, sous la direction du Grand Directeur Divin, Saint-Germain et ses fidèles redécouvrirent la flamme et continuèrent à protéger le sanctuaire. Plus tard, le Grand Directeur Divin assisté de ses disciples, établit une retraite sur le site de la flamme et fonda la Maison de Rakóczi, la maison royale de Hongrie.

Samuel raconte à Éli les jugements de Dieu sur la maison d’Éli, de John Singleton Copley (1780)
File:Unción de David por Samuel, de Antonio González Velázquez (Real Academia de Bellas Artes de San Fernando).JPG
Samuel donnant l’onction à David, par Velázquez

Le prophète Samuel

Au onzième siècle av. J.-C., Saint-Germain était incarné en Samuel, le prophète. Il était un grand chef religieux dans un temps de grande apostasie, servant en tant que dernier juge d’Israël et le premier de ses prophètes. En ce temps-là, les juges ne réglaient pas seulement les litiges ; ils étaient des chefs charismatiques qui avaient directement accès à Dieu et qui pouvaient rallier les tribus d’Israël contre leurs oppresseurs.

Samuel était le messager de la Libération divine de la descendance d’[[Special:MyLanguage/Abraham|Abraham] pour mettre fin à la servitude des prêtres corrompus, les fils d’Éli, et des Philistins qui avaient massacré les israélites dans une bataille. Il est traditionnellement nommé au côté de [[Special:MyLanguage/Moses|Moïse] comme un grand intercesseur. Lorsque la nation subissait constamment la menace des Philistins, il a conduit courageusement le peuple dans un réveil spirituel, en l'exhortant à « retourner vers le SEIGNEUR de tout leur cœur » et de « renoncer aux dieux étrangers ».[2] Les gens se repentirent et supplièrent Samuel de ne pas cesser d’invoquer le SEIGNEUR pour les sauver. Alors qu’il priait et faisait des offrandes, un violent orage s’est déclenché, permettant aux israélites de vaincre leurs ennemis. Les Philistins ne se relevèrent jamais aux jours de Samuel.

Le prophète termina ses jours en administrant la justice dans tout le pays. Lorsqu’il est devenu vieux, il nomma ses fils comme juges d’Israël ; mais ils étaient corrompus et le peuple demanda que Samuel leur donne « un roi pour les juger comme toutes les autres nations ». [3] Profondément affligé, il pria le Seigneur et reçut la directive d’exécuter le mandat du peuple. Le Seigneur lui dit : « Ils ne t’ont pas rejeté, mais c’est moi qu’ils ont rejeté, afin que je ne règne pas sur eux ». [4]

Samuel avertit les israélites du danger qui leur arriverait à travers leurs dirigeants, mais ils insistèrent pour avoir un roi. Il a donc sacré Saul roi et lui recommande ainsi qu’au peuple de toujours obéir à la voix du Seigneur. Mais lorsque Saul s’est révélé être un serviteur infidèle, Samuel prononça le jugement du Seigneur sur lui pour sa désobéissance et il a secrètement oint David comme roi. Lorsque le prophète mourut, il fut enterré à Ramah ; tout Israël pleura son décès.

Saint Joseph

Article principal: Saint-Joseph

Saint Joseph, le père de Jésus et l’époux de Mary|Marie, était aussi une incarnation de Saint-Germain. On fait peu référence à lui dans le Nouveau Testament. La Bible retrace sa lignée jusqu’à David|David. On raconte aussi comment un ange du Seigneur lui apparut dans un songe pour le prévenir qu’Hérode complotait pour tuer Jésus, Joseph tint compte de l’avertissement et emmena sa famille en Égypte, et revint au pays après la mort d’Hérode. Il est dit que Joseph était charpentier et qu’il est décédé avant que Jésus ne commence son ministère public. Dans la tradition catholique, Saint Joseph est vénéré comme le saint Patron de l’Église universelle et on le célèbre le 19 mars.


Saint Alban, Vitrail de l'église Evesham All Saints’ church

Saint Alban

À la fin du troisième siècle, nous retrouvons Saint-Germain incarné en saint Alban, le premier martyr britannique. Alban vivait en Angleterre pendant la persécution des chrétiens sous l’empereur romain Dioclétien. Il était un soldat païen qui était au service de l’armée romaine dans la ville de Verulamium, renommée plus tard Saint-Alban. Alban recueillit un prêtre fugitif, nommé Amphibalus, qui convertit Alban. Lorsque les soldats vinrent chercher le fugitif, Alban se vêtit des vêtements du prêtre et permit à celui-ci de s’échapper.

Lorsque sa ruse fut découverte, Alban fut fouetté et condamné à mort. La légende raconte que des milliers de gens se rassemblèrent pour assister son exécution, mais un pont étroit entravait leur chemin. Alban pria et la rivière se sépara en deux pour laisser passer la foule. Le bourreau se convertit sur-le-champ et supplia qu’on le laisse mourir à sa place. On lui refusa sa requête et les deux furent décapités le même jour.

Alban a toujours été vénéré par la population des îles depuis sa mort en 303 av. J.-C.. Comme le Rév. Alban Butler l’écrit dans son livre La vie des saints et martyrs, « depuis fort longtemps, notre île a recours à saint Alban comme son glorieux protomartyr et son puissant patron auprès de Dieu, et reconnaît les nombreuses faveurs obtenues de Dieu par son intercession ».

Enseignant de Proclus

Saint-Germain a œuvré depuis les plans intérieurs en tant que maître enseignant responsable des néoplatoniciens. Il a inspiré le philosophe grec Proclus (vers 410-485 ap. J.-C.), qui a dirigé l’Académie platonicienne d’Athènes. Il a révélé l’incarnation précédente de son disciple en tant que philosophe pythagoricien, montrant également à Proclus l'imposture de la chrétienté sous l’empereur Constantin et la valeur du sentier de l’individualisme (qui mène à l’individualisation de la flamme de Dieu) que les chrétiens ont appelé « paganisme ».

Sous la tutelle du Maître, Proclus a fondé sa philosophie sur le principe qu’il n’y a qu’une seule réalité – « l’Unique » qui est Dieu, ou la Divinité, le but ultime des efforts de toute vie. Le philosophe a dit « au-delà de tout corps se trouve l’essence de l’âme, et au-delà de toute âme la nature intellectuelle, et au-delà de toute existence intellectuelle se trouve l’Unique ». (5)

Les écrits de Proclus s'étendaient à presque tous les domaines d’études, de la philosophie et de l’astronomie aux mathématiques et à la grammaire. Il affirmait que son édification et sa philosophie venaient d’un plan supérieur et il croyait qu’il était celui par lequel la révélation divine atteignait l’humanité.

Son disciple Marinus a écrit : « Il ne semblait pas être sans inspiration divine, car de la sagesse de sa bouche sortait des mots semblables à une neige épaisse qui tombe ; de sorte que ses yeux émettaient un rayonnement lumineux, et le reste de son visage transmettait l’illumination divine ».(6)

Merlin

Article principal: Merlin

Au cinquième siècle, Saint-Germain était Merlin – l’alchimiste, le prophète et conseiller à la cour du Roi Arthur. Dans un pays divisé par des chefs guerriers et déchiré par les envahisseurs saxons, Merlin dirigea Arthur dans douze batailles (qui étaient en fait les douze initiations) pour unir le royaume d’Angleterre. Il a travaillé au côté du roi pour établir la communauté sacrée de la Table Ronde. Sous la direction de Merlin et d’Arthur, Camelot était une [[Special:MyLanguage/[mystery school|école de mystère]] où les chevaliers et les dames poursuivaient l'épanouissement intérieur des mystères du Saint Graal et un sentier christique personnalisé.

Dans certaines traditions, on présente Merlin comme un sage divin qui étudiait les étoiles et dont les prophéties ont été consignées par soixante-dix secrétaires. Les Prophéties de Merlin, qui faisaient état d’événements au-delà du temps d’Arthur dans un futur lointain, étaient populaires au Moyen-âge.

caption
La statue de Roger Bacon, au Musée d’Histoire naturelle à l’Université d’Oxford

Roger Bacon

Article principal: Roger Bacon

Roger Bacon est une autre incarnation de Saint-Germain (1220-1292), philosophe, moine franciscain, réformateur de l’enseignement, spécialiste de la science expérimentale. À une époque où soit la théologie ou la logique ou les deux dictaient les paramètres de la science, il a fait la promotion de la méthode expérimentale, il a affirmé qu'il croyait que la terre était ronde, et a fustigé les savants et les scientifiques de son époque pour leur étroitesse d’esprit. Il a affirmé que « la véritable connaissance ne découle pas de l'autorité des autres ni d'une allégeance aveugle à des dogmes désuets ». [7] Plus tard, Bacon quitta son poste d’enseignant à l’Université de Paris et entra dans l’ordre franciscain des Frères Mineurs.

En son temps, Bacon était célèbre pour ses recherches exhaustives sur l’alchimie, l’optique, les mathématiques et les langues. On le considère comme le précurseur de la science moderne et un prophète de la technologie moderne. Il a prédit l’invention du ballon à air chaud, de la machine volante, des lunettes, du télescope, du microscope, de l’ascenseur, des bateaux et des voitures propulsées mécaniquement et les a décrits comme s’il les avait réellement vus.

Son point de vue scientifique et philosophique sur le monde, ses attaques audacieuses contre les théologiens de son époque, et ses études sur l’alchimie et l’astrologie ont entraîné des accusations « d’hérésie et d’innovation » pour lesquelles il a été emprisonné pendant quatorze ans par ses compagnons franciscains. Pour ceux qui l'ont suivi, Bacon était le « doctor mirabilis » (« le merveilleux docteur »), un qualificatif par lequel il a été connu à travers les siècles.

caption
Portrait posthume de Christophe Colomb, par Sebastiano del Piombo (1519)

Christophe Colomb

Article principal: Christophe Colomb

Saint-Germain s’est incarné en Christophe Colomb (1451-1506), découvreur de l’Amérique. Plus de deux siècles avant que Colomb ne navigue, Roger Bacon lui-même avait préparé le terrain pour le voyage de Christophe Colomb vers le Nouveau Monde en écrivant dans son Opus Majus que « la mer entre la fin de l’Espagne à l’Ouest et le début de l’Inde à l’Est est navigable en quelques jours si le vent est favorable ».[8] Même si l’énoncé était erroné parce qu’à l’ouest de l’Espagne ce n’était pas l’Inde, il a été l’instrument de la découverte de Colomb. Il a cité ce passage dans une lettre au roi Ferdinand et à la reine Isabelle, en 1498, où il leur dit que son voyage en 1492 a été inspiré en partie par cette déclaration visionnaire.

Colomb croyait que Dieu l’avait créé pour être « le messager d’un nouveau ciel et d’une nouvelle terre dont Il a parlé dans l’Apocalypse de saint Jean, après l’avoir dit de la bouche d’Isaïe ». « En poursuivant cette entreprise vers les Indes » [9] écrit-il au roi Ferdinand et à la reine Isabelle en 1502, « ce ne sont ni la raison, ni les mathématiques, ni les cartes qui m’ont été utiles : ce sont les paroles d’Isaïe qui ont été entièrement accomplies ». Il faisait référence à la prophétie annoncée dans Isaïe, chapitre 11, verset 10-12, que le Seigneur « lèvera de nouveau la main pour racheter le reste de son peuple… et réunira les exilés d’Israël et il recueillera les dispersé de Judas des quatre coins de la terre ». [10)

Il avait la certitude d’avoir été choisi par Dieu pour sa mission. Il a étudié les prophètes de la Bible, et il nota les passages relatifs à sa mission dans un livre écrit de sa main intitulé Las Proficias, ou les Prophéties – dans sa forme complète, The Book of Prophecies concerning the Discovery of the Indies and the Recovery of Jerusalem (en français : Le livre des prophéties). Bien que ce soit rarement souligné, c’est un fait si ancré dans l’histoire que même l’Encyclopaedia Britannica dit sans équivoque que « Colomb a découvert l'Amérique par la prophétie plutôt que par l’astronomie ».

caption
Francis Bacon, Vicomte de Saint-Alban, par un auteur inconnu

Francis Bacon

Article principal: Francis Bacon

En tant que Francis Bacon (1561-1626), il était philosophe, homme d’État, essayiste et grand homme de lettres. On a dit de Bacon qu’il était le plus grand génie que l’Occident a jamais eu. On le reconnaît comme étant le père du raisonnement inductif et de la méthode scientifique, qui, dans une large mesure, sont responsables de l’ère technologique dans laquelle nous vivons. Il savait que seule la science appliquée pouvait libérer les masses de la misère humaine ainsi que du travail pénible et ingrat qu’elles font pour survivre pour leur permettre de découvrir une spiritualité supérieure qu’elles ont déjà connue.

« La Grande Instauration » (qui veut dire une restauration à la suite d’une dégradation, une déchéance ou un délabrement) était sa formule pour changer « le monde entier ». Il a d’abord développé ce concept lorsqu’il était enfant, et plus tard il l’a cristallisé en 1607 dans son livre du même nom qui a lancé la Renaissance anglaise.

Au fil des ans, Bacon a rassemblé autour de lui un groupe d’écrivains responsable de presque toute la littérature élisabéthaine. Certains d’entre eux faisaient partie d’une « société secrète » qu’il a appelée « The Knights of the Helmet » (Les Chevaliers du Heaume) dont l’objectif était l’avancement des apprentissages en répandant la langue anglaise et en créant une nouvelle littérature non pas en latin, mais dans des mots que les anglais pouvaient comprendre. Bacon a aussi organisé la traduction de la Version de la King James Version of the Bible|Bible du roi Jacques, parce qu’il était déterminé à ce que les gens ordinaires bénéficient de la lecture de la parole de Dieu par eux-mêmes.

Dans les années 1890, des codes ont été découverts dans les tirages originaux des pièces de Shakespeare et dans les œuvres de Bacon et d’autres auteurs élisabéthains ont révélé que Bacon a écrit les pièces de Shakespeare et qu’il était le fils de la reine Elizabeth et de Lord Leicester. [5] Cependant, par crainte de perdre le pouvoir, sa mère refusa de le reconnaître comme son héritier.

Vers la fin de sa vie, Bacon a été persécuté et n’a jamais été reconnu pour ses nombreux talents. On dit qu’il est décédé en 1626, mais certains ont affirmé qu’il a, par la suite, vécu secrètement en Europe pendant un certain temps. Triomphant des circonstances qui auraient détruit des hommes de caractère inférieur, son âme a accédé au rituel de l’ascension depuis le Manoir de Rakoczy, la retraite du Grand Directeur Divin, le 1er mai 1684.

Le Comte de Saint-Germain

Le Prodige de l'Europe

Article principal: Le Prodige de l'Europe

Desiring above all else to liberate God’s people, Saint Germain sought and was granted a dispensation from the Lords of Karma to return to earth in a physical body. He appeared as “le Comte de Saint Germain,” a “miraculous” gentleman who dazzled the courts of eighteenth- and nineteenth-century Europe, where they called him “The Wonderman.”

He was an alchemist, scholar, linguist, poet, musician, artist, raconteur and diplomat admired throughout the courts of Europe for his adeptship. He was known for such feats as removing the flaws in diamonds and other precious stones and composing simultaneously a letter with one hand and poetry with the other. Voltaire described him as the “man who never dies and who knows everything.”[6] The count is mentioned in the letters of Frederick the Great, Voltaire, Horace Walpole and Casanova, and in newspapers of the day.

Working behind the scenes, Saint Germain attempted to effect a smooth transition from monarchy to representative government and to prevent the bloodshed of the French Revolution. But his counsel was ignored. In a final attempt to unite Europe, he backed Napoleon, who misused the master’s power to his own demise.

But even prior to this, Saint Germain had turned his attention to the New World. He became the sponsoring master of the United States of America and of her first president, inspiring the Declaration of Independence and the Constitution. He also inspired many of the labor-saving devices of the twentieth century to further his goal of liberating mankind from drudgery that they might devote themselves to the pursuit of God-realization.

Chohan du Septième Rayon

In the latter part of the eighteenth century, Saint Germain received from the lady master Kuan Yin her office as chohan of the seventh ray—the ray of mercy and forgiveness and of sacred ceremony. And in the twentieth century, Saint Germain stepped forth once again to sponsor an outer activity of the Great White Brotherhood.

In the early 1930s, he contacted his “general in the field,” the reembodied George Washington, whom he trained as a messenger and who, under the pen name of Godfré Ray King, released the foundation of Saint Germain’s instruction for the New Age in the books Unveiled Mysteries, The Magic Presence and The “I AM” Discourses. In the late 1930s, the Goddess of Justice and other cosmic beings came forth from the Great Silence to assist Saint Germain in his work of bringing the teachings of the sacred fire to mankind and ushering in the golden age.

In 1961 Saint Germain contacted his embodied representative, the messenger Mark L. Prophet, and founded the Keepers of the Flame Fraternity in memory of the Ancient of Days and his first pupil, Lord Gautama—and the second, Lord Maitreya. His purpose was to quicken all who had originally come to earth with Sanat Kumara—to restore the memory of their ancient vow and reason for being on earth today: to serve as world teachers and ministering servants in their families, communities and nations at this critical hour of the turning of cycles.

Thus, Saint Germain recalled the original keepers of the flame to hearken to the voice of the Ancient of Days and to answer the call to reconsecrate their lives to the rekindling of the flame of life and the sacred fires of freedom in the souls of God’s people. Saint Germain is the Knight Commander of the Keepers of the Flame Fraternity.

Hiérarque de l'ère du Verseau

On May 1, 1954, Saint Germain received from Sanat Kumara the scepter of power and from the Master Jesus the crown of authority to direct the consciousness of mankind for this two-thousand-year period. This does not mean that the influence of the ascended master Jesus has receded. Rather, as World Teacher from the ascended level, his instruction and his radiation of the Christ consciousness to all mankind will be even more powerful and all-pervading than before, for it is the nature of the Divine continually to transcend itself. We live in an expanding universe—a universe that expands from the center of each individualized son (sun) of God.

This dispensation means that we are now entering a two-thousand-year period when, by invoking into our beings and worlds the violet transmuting flame, the God-energy that the human race has misqualified for thousands of years may now be purified and all mankind cut free from fear, lack, sin, sickness and death, and all may now walk in the light as God-free beings.

At this dawn of the age of Aquarius, Saint Germain has gone before the Lords of Karma and received the opportunity to release the knowledge of the violet flame outside of the inner retreats of the Great White Brotherhood, outside of the mystery schools. Saint Germain tells us of the benefits of invoking the violet flame:

In some of you a hearty amount of karma has been balanced, in others hardness of heart has truly melted around the heart chakra. There has come a new love and a new softening, a new compassion, a new sensitivity to life, a new freedom and a new joy in pursuing that freedom. There has come about a holiness as you have contacted through my flame the priesthood of the Order of Melchizedek. There has come a melting and dissolving of certain momentums of ignorance and mental density and a turning toward a dietary path more conducive to your own God-mastery.

The violet flame has assisted in relationships within families. It has served to liberate some to balance old karmas and old hurts and to set individuals on their courses according to their vibration. It must be remembered that the violet flame does contain the flame of God-justice, and God-justice, of course, does contain the flame of the judgment; and thus the violet flame always comes as a two-edged sword to separate the Real from the unreal....

Blessed ones, it is impossible to enumerate exhaustively all of the benefits of the violet flame but there is indeed an alchemy that does take place within the personality. The violet flame goes after the schisms that cause psychological problems that go back to early childhood and previous incarnations and that have established such deep grooves within the consciousness that, in fact, they have been difficult to shake lifetime after lifetime.[7]

Alchimie

Article principal: Alchimie

Saint Germain teaches the science of alchemy in his book Saint Germain On Alchemy. He uses the amethyst—the stone of the alchemist, the stone of the Aquarian age and the violet flame. The waltzes of Strauss carry the vibration of the violet flame and will help to put you in tune with him. He has also told us that the “Rakoczy March,” by Franz Liszt, carries the flame of his heart and the formula of the violet flame.

Retraites

Main article: Royal Teton Retreat

Article principal: Caverne des symboles

Saint Germain maintains a focus in the golden etheric city over the Sahara Desert. He also teaches classes at the Royal Teton Retreat as well as his own physical/etheric retreat, the Cave of Symbols, in Table Mountain, Wyoming. In addition, he works out of the Great Divine Director’s focuses—the Cave of Light in India and the Rakoczy Mansion in Transylvania, where he presides as hierarch. More recently he has established a base in South America at the retreat of the God and Goddess Meru.

His electronic pattern is the Maltese cross; his fragrance, that of violets.

Voir aussi

Portia

Sources

Mark L. Prophet and Elizabeth Clare Prophet, The Masters and Their Retreats, vol.2 “Saint Germain.”

  1. Pearls of Wisdom, vol. 18, no. 30.
  2. I Sam. chap.7 v.3.
  3. I Sam. chap.8 v.5.
  4. I Sam. chap.8 v.7.
  5. See Virginia Fellows, The Shakespeare Code (Le code shakespearien).
  6. Voltaire, Œuvres, Lettre cxviii, ed. Beuchot, lviii, p. 360, quoted in Isabel Cooper-Oakley, The Count of Saint Germain (Blauvelt, N.Y.: Rudolf Steiner Publications, 1970), p. 96.
  7. Saint Germain, “Keep My Purple Heart,” Pearls of Wisdom, vol. 31, no. 72.